Zones de projet - Mooyo Utante

Le centre scolaire Budikadidi a été fondé en 1986, entre autres par le Rév. Prof. Dr. Muena Muanza Ntumba avec les frères Rév. Dr. Constantin W. M. Panu et d'autres personnes engagées. D’abord comme une petite école privée, pour aider les enfants, jeunes adultes de toutes les classes sociales de la ville de Tshikapa et de la région environnante, parallèlement à une éducation de qualité, à se familiariser avec les valeurs importantes telles que la confiance en soi, la responsabilité, l'amour du travail pour les éduquer à devenir une « nouvelle personne »

Le centre dispose d'écoles primaires et d'orientation jusqu’à la huitième année pour les filles et les garçons et un lycée avec quatre programmes: éducatifs : pédagogie, sciences naturelles, administration des affaires et une école d'infirmières.

Actuellement, il y a environ 2 553 étudiants (1 538 garçons et 1 015 filles), de l'école primaire jusqu’à l'école d'études secondaires.

Depuis 1995, les élèves participent avec succès au baccalauréat national.

L'éducation n’est pas gratuite en RDC. Afin de permettre à tous les enfants de bénéficier d’une éducation de base, des écoliers sont également admis dans le centre scolaire dont les parents ne peuvent pas payer les frais de scolarité.

Dans le domaine de l'éducation et de la formation, une nouvelle perspective de vie est donnée à des enfants vivants dans la rue, uniquement des filles et des mères mineures, par le biais de l'hébergement, soins et thérapie.

La  paroisse de Saint-Joseph possède une infirmerie, où sont soignées les maladies importantes telles que le choléra, la typhoïde, la diarrhée.

Ces maladies surviennent principalement en raison de la mauvaise qualité de l'eau potable avec une issue souvent fatale, surtout chez les jeunes enfants jusqu`à la fin de leur scolarité à l’école primaire

600 enfants en moyenne naissent chaque année à l’infirmerie.

Grâce au soutien d'un pharmacien allemand une droguerie a été ouverte, dans laquelle sont confectionnés des médicaments naturels selon la tradition africaine et vendus à des prix abordables.

Grâce aux  "séminaires Anamed" les femmes, principalement, apprennent comme cultiver et utiliser les plantes médicinales.